Le procès de Louboutin rouge Semelles: le juge refuse d'arrêter chaussures Sales YSL

NEW YORK - Dans une affaire judiciaire qui a tous les côtés voyant rouge, un juge a déclaré mercredi que le fabricant français de chaussures de luxe portés par des stars comme Sarah Jessica Parker, Scarlett Johansson et Halle Berry va probablement échouer dans ses efforts pour empêcher d'autres cordonniers de production de chaussures à talons chaussure christian louboutin hauts pour femmes à semelles rouges.

US District juge Victor Marrero a refusé une demande de Christian Louboutin d'arrêter la vente de chaussures pour femmes à semelles rouges par concurrent Yves Saint Laurent SAS, une autre société française basée à Paris. Bien que la décision est venue à un stade précoce de l'examen d'une Louboutin procès intenté en Avril, le juge a dit qu'il va probablement être jeté dehors.

Il a déclaré qu'il était peu probable christian louboutin france pourrait défendre une marque "trop large" accordé en 2008 par l'US Patent and Trademark Office. Le juge a déclaré que le bureau était «peut-être influencé en partie par la reconnaissance générale de la semelle rouge avait déjà atteint», comme les chaussures est devenu un favori des clients célèbres bien nantis. La marque fait remarquer que la couleur rouge est revendiquée comme une caractéristique de la marque, qui consiste en une semelle rouge laquée sur les chaussures.

«L'attribution d'un participant dans le marché de la chaussure de designer un monopole sur la couleur rouge serait inadmissible entraver la concurrence entre les autres participants», a écrit Marrero. Il a dit que ce serait comme si Picasso avait poursuivi Monet, en disant qu'il peint ses nénuphars avec un indigo distinctif que Picasso utilisé sur ses images d'eau.

Il a déclaré que la revendication de la propriété de Louboutin à semelle rouge nuirait à la concurrence non seulement dans les chaussures de haute couture, mais potentiellement christian louboutin parisdans les marchés d'autres articles de mode ainsi, en mettant fabricants de robes, des manteaux, des sacs, des chapeaux et des gants dans la crainte de poursuites judiciaires.